Artigas Planas, sculpteur espagnol né en 1960 et diplômé des beaux arts en 1985, enseigne la sculpture depuis 1988 eu sein de l'école supérieure d'art de Barcelone.
Ses personnage glissent, rêvent, regardent, écoutent, se reposent ou pleurent mais ne tombent jamais de leur piédestal. La "femme" reproduite à l'infini car elle est l'infini nous confiera l'artiste. Artigas Planas la met à l'honneur et la décline associant ainsi des couleurs allant du bleu vert au rouge.
Pour l'artiste la composition ne se limite pas au bronze, elle va au-delà et occupe plus largement son univers. Artigas Planas situe son œuvre dans l'espace, dans la matière, en lui composant des socles en fer ou en corten, parfois imposants mais toujours harmonieux. De la sculpture murale à celle sur socle, l'artiste crée sans jamais se lasser.
Artigas Planas a intégré de nombreuses collections et continue d'être présent en Espagne mais aussi au Danemark, en Norvège, en Allemagne, en Belgique et en France.
L'artiste a réalisé pour la ville de Talence l'œuvre monumentale visible à l'entrée des nouvelles Halles, voir l'œuvre
Les mots de la galerie
Il y a quelques années, je faisais face aux sculptures de Joan, lors d'un salon à Nîmes. Voyant que mon regard ne quittait pas son stand, la galeriste qui le représentait est venue me parler de son travail et m'a proposé de me présenter l'artiste qui devait venir sur le salon. Il ne nous a fallu que quelques minutes pour établir ce lien de confiance qui caractérise notre relation. Depuis 2012 les" petites bonnes femmes" de Joan habitent la galerie et font le bonheur de nos clients. Une belle réconnaissance pour cet artiste qui verra en 2018 une de ses sculptures, représenter la ville de talence grâce à "Ville envie". Sa sculpture monumentale vous accueillera aux Halles de Talence (33)
Patrick BERTHAUD est passionné par la sculpture dès son plus jeune âge. Il est reçu comme Compagnon Sculpteur sur Pierre en 1998 et travaille sur les chantiers des cathédrales, une belle experience qui continue d'alimenter sa passion pour la sculpture. Ses différentes expériences le conduisent à maîtriser, de nombreux matériaux comme le bronze, les résines, la pierre et les terres cuites. Patrick Berthaud poursuit dans cette direction et crée en 2001 son atelier.
L'artiste réalise alors de nombreuses commandes publiques mais se réserve aussi du temps pour sa création et pour la formation, ancien Compagnon il a gardé en lui l'importance de la transmission.
L'univers artistique de Patrick Berthaud tourne autour de ses interrogations sur la nature humaine, ses forces, ses faiblesses, ses émotions, et ses limites. Des oeuvres porteuses de messages. Un travail récent sur la série "Les Labyrinthes" révèle toute la maîtrise et toute la puissance de l'artiste.
Les mots de la galerie
Patrick Berthaud était en déplacement à Bordeaux lorsqu’il est venu visiter la Galerie. Il s'est retrouvé dans l'univers artistique que nous représentions et a discuté avec Juliette d’une possible collaboration. Ma première rencontre avec l’artiste a été le book qu’il nous avait déposé. C’est alors que j’ai découvert "Contact", le coup de cœur a été immédiat. De cette sculpture émane une puissance surprenante qui fige l’instant. Patrick Berthaud réalise de nombreuses sculptures monumentales, il maîtrise son art sans pour autant perdre l’émotion et la sensibilité. Après quelques échanges, nous avons convenu ensemble d’une première introduction de ses œuvres en galerie.
Après sa formation à l'école des Arts Décoratifs de Limoges, Lucette BRANDY travaille pendant 10 ans dans un atelier de création. Elle décide par la suite de se consacrer à la sculpture, et entre en galerie. Ses personnages attendrissants prennent corps d'une manière très poétique. L'artiste propose une vision bienveillante et délicate de ce que nous sommes, légérement moqueuse mais pourtant si douce au regard, comme au toucher. Ses créations ne sont pas des caricatures, mais des reflets oniriques de notre essence. En compagnie de nos animaux préférés ou regardant au loin vers l'horizon où nait l'esperance, BRANDY touche au plus profond à ce qui nous lie tous, notre humanité.
Les mots de la galerie
Lucette Brandy était représentée par la galerie Imagine à Bordeaux, je passais régulièrement admirer son travail. Ses sculptures pleines d'humour et de bienveillance, apportaient douceur et joie de vivre. Lorsque la galerie Imagine a fermé, et m'a proposé de représenter cette artiste, j'ai immédiatement accepté. Quelques mois plus tard je rencontrais cette artiste dont j'apprécie le travail depuis plusieurs années. Lucette est d'une grande gentillesse et son travail est le reflet de sa belle personnalité.
Née en 1959 à Etterbeek, Chantal de Sutter est depuis son plus jeune âge attirée par l’art. Sa rencontre avec celui qui deviendra son époux, Robert de Sutter, sera un événement décisif dans sa vie. Passionnés tous deux par la sculpture, ils créent une fonderie d’art et réalisent à la cire perdue les œuvres des artistes. Il ne restait alors plus qu’un petit pas à faire pour travailler sur leurs créations artistiques. Chantal a exploré des univers très différents laissant aller son imaginaire vers l’enfance mais aussi vers la femme et sa féminité. Son travail a eu un tel succès que l’artiste n’a pu continuer son travail de fondeur et après 20 années à osciller entre fonderie et atelier, Chantal s’est exclusivement consacrée à ses créations artistiques. Présente dans les plus grandes galeries l’artiste bénéficie d’une belle notoriété.
Les mots de la galerie
Dans un premier temps j’ai découvert son univers enfantin, avec des ballons colorés, des enfants pointant leurs nez vers le ciel, des chevaux tout droit sortis de l’imaginaire. Chantal créait une ambiance féérique qui attirait les regards. Puis j’ai découvert au fil des années un nouveau travail tout aussi intéressant, des personnages, longilignes, raffinées et emprunts de sensibilité, qui mettent en exergue féminité et élégance.
Robert De Sutter, sculpteur Belge né en 1957 à Forest, fils de Clément De Sutter créateur de bijoux et fondeur à cire perdue et petit fils du peintre Ernest De Sutter, est tombé inévitablement dans le monde de l'art. Il suit des études aux arts et métiers de Bruxelles dans les années 70 et affine sa formation aux côtés de grands artistes tels que Rick Poot, Jef Vanturenhout, Pierre Caille, Olivier Leloux...et travaille différentes matières : le bronze, la pierre, la terre et la cire.
En 1977 il rencontre Chantal de Block et tous deux créent une fonderie d'art à cire perdue dans laquelle ils réalisent les oeuvres en Bronze de nombreux artistes. Après 20 ans de métier comme fondeurs, ils décident de ne se consacrer plus qu'à leurs créations personnelles. Stylés et affinés, les personnages de Robert affichent une grande sobriété. Les bronzes s'étirent et s'installent dans des pauses d'une rare élégance où la ligne et la courbe tiennent une place essentielle, coiffés de coquillage, oeuf d'autruche, de céramique de couleur qui ne manquent pas de souligner la beauté intrinsèque de son travail.
Les mots de la galerie
Le travail de l'artiste nous a été présenté par un agent d'artiste. J'ai immédiatement été séduite par l'univers "irréel" de Robert. Des personnages aux silhouettes simplifiées, des attitudes simples, des corps en conversation. L'alliance bronze et céramique apporte douceur et sérénité, un univers atypique que nous souhaitions partager avec nos collectionneurs.
L’être humain est au cœur du travail d’Elisabeth Dupin Sjöstedt. Ces corps étirés, aux formes suggérées, sont tantôt statiques, tantôt en mouvement. Les visages travaillés laissent transparaitre une personnalité mystérieuse.
L’artiste nous transporte dans différentes époques, passées ou futures, réelles ou fantasmées.
Le terre, faïence ou grès, permet à l’artiste de donner vie à ses personnages. Le tissu, le bois ou le sable viennent parfois se mêler à ces corps.
L’artiste, qui a étudié l'Histoire à la Sorbonne et l'Histoire de l'Art à l’Ecole du Louvre, remporte de nombreux prix et récompenses. Elisabeth propose une balade à travers des mondes singuliers, et nous donne envie d’en imaginer de nouveaux, peuplés de ses mystiques êtres.
« Comment aborder ce monde, sinon avec le corps que nous habitons. Grâce à lui, nous voyons, sentons, devinons cet univers multiple et magique. Les visages et les personnages que je réalise en terre, me permettent d’explorer davantage encore la matière, mais aussi son essence. Lorsque je travaille un visage, j’attends que quelqu’un apparaisse. Quand cela se produit, l’esprit et la matière se mêlent alors, et tout prend un sens. Là réside une dualité que je cherche à chaque fois à définir et à réunifier.
A travers cette quête, beaucoup de visages et de personnages se présentent. On ne peut définir ni le pays, ni l’époque auxquels ils appartiennent. Mais ils ont en commun cette humanité mystérieuse, mouvante, animée par l’invisible. » Elisabeth Dupin-Sjöstedt
Les mots de la galerie
Nous allons vers les artistes mais ils viennent aussi vers nous. Elisabeth Dupin Sjöstedt est venue en galerie lors d’un séjour à Bordeaux. Elle s’est sentie dans son environnement et a passé du temps à découvrir le travail des autres artistes. Après quelques échanges elle m’a présenté son travail. Non seulement j’avais beaucoup apprécié la personne, mais la découverte du travail était toute aussi intéressante. La décision de travailler ensemble était une évidence. Elisabeth a un univers très doux, dans lequel nous nous sentons bien immédiatement. Des visages, des couples, réalisés en porcelaine, expriment une grande délicatesse. Elisabeth a apporté une touche de douceur dans la galerie et c’est toujours avec grand plaisir que nous découvrons ses nouvelles œuvres.
Béatrice Fernando a suivi des études en histoire de l'art avant de se consacrer entièrement à la sculpture. le travail de la matière parait est, chez elle, un besoin vital de donner vie de ses mains. Ses oeuvres, aux identités singulières, sont faites d'une nouvelle matière, dont l'artiste a le secret. Ce mystérieux mélange, composé entre autres de grès, de sable et de céramique, permet à Béatrice de créer des sculptures souvent longilignes, à l'allure brute et aux traits expressifs.
L'artiste pose un regard perçant sur l'Homme et nous invite à sonder l'âme de ses oeuvres. Présente sur le marché de l'art, elle a exposé dans de nombreuses galeries. Béatrice Fernando a reçu en 2010, le diplôme de la médaille de Bronze des Arts, Sciences et lettres à Paris pour "Originalité de la matière". En 2011, le 13ème salon International de Pezenas lui remet la médaille d'or.
Les mots de la galerie
Béatrice Fernando m’a fait découvrir son univers il y a plusieurs années. A l’époque J’avais déjà été interpellée pour ses œuvres qui tournaient autour de la tauromachie. En 2016, je l’ai croisée sur un salon d’art avec de nouveaux sujets qui correspondaient davantage à nos orientations artistiques. Réservée et amicale, Béatrice a accepté notre proposition de collaboration et depuis nous avons le plaisir de représenter son travail. Béatrice a son univers mais aussi une technique mise au point, un matériau de sa composition. Ses sculptures ont une incroyable présence qui peut parfois être dérangeante. Béatrice fait partie de ces sculpteurs qui ne laissent pas indifférents.
Designer, technoplasticien, diplômé de l'école des Beaux Arts de Toulouse, Bertrand Grégoire débute sa carrière en créant l'agence de design I.D.forme.
Il obtient le Gold award du Medical Design Excellence Awards de New-York en 2008.
Au travers d’un subtil mélange contemporain de Pop’art et de pixellisation 3D, l'artiste nous propose ici une série de bustes antagonistes, opposant leurs deux moitiés faciales, tant par leurs définitions et leurs matières, que par leurs textures et couleurs.
Il aborde dans cette nouvelle série aux inspirations iconiques diverses, des thèmes qui lui sont chers ; Vénus préhistorique, divinités antiques, vanités, tout en revisitant les registres bestiaires et autres figures de la BD et du dessin animé…
L’artiste nous emmène dans un univers matriciel/sensoriel ; de la noirceur profonde d’une matrice abrupte aux éclats brillants des strass, de l’implacable modernité du cube à la sensibilité des volutes classiques dorées à la feuille, comme pour mieux exprimer l’ambivalence qui réside en chacune de nos personnalités complexes.
Autant de visages qui semblent émaner de leur moule matriciel, figures naissantes de leur gangue conceptuelle, passant d’une ébauche virtuelle pixélisée à leur expressivité bien réelle.
A l’heure des imprimante 3D et du tout numérique, si l’artiste s’en inspire comme postulat de départ, la facture de ses œuvres en revanche, n’en demeure pas moins artisanale, dans la tradition du modelage et de la résine coulée dans son atelier, en séries très limitées, qui en fait des pièces d’exception.
Alors que la sculpture conventionnelle s’efforçait de « montrer » et que l’art contemporain ne fait que « démontrer », le travail de l’artiste s’inscrit dans une démarche contemporaine, tout en confirmant son amour profond pour la matière
Les mots de la galerie
Bertrand Grégoire est venu présenter ses oeuvres en galerie 2012. Dans la lignée des ready-made, l’artiste conjuguait récupération et création, mêlant techniques de détournement et fonderie où se côtoient pièces mécaniques et bidons usés. Cela a été un coup de cœur, un travail vraiment atypique que nous avons immédiatement présenté en galerie et qui a connu un franc succès.
Toujours en recherche et perfectionniste, Bertrand m’a annoncé un nouveau travail que j’attendais avec impatience sans trop savoir à quoi m’attendre. La surprise a de nouveau été au rendez-vous et sans hésitation j’ai décidé de vous le présenter. Bertrand Grégoire prend un réel plaisir à chercher, concevoir, créer ce nouveau travail montre encore une facette de sa création artistique nul doute que nous aurons encore de bonnes surprises.
Giorgio Laveri, est un artiste italien déjà présent dans de nombreux musées, consécration de plus de 45 ans de vie artistique. Giorgio est né en 1950 à Savone. Acteur, assistant plateau, metteur en scène, il réalise son premier film en 1978. Giorgio Laveri est un passionné qui a toujours donné sans compter. Généreux, l'humain reste sa priorité. Très jeune il a découvert la céramique par l'un des maîtres de la discipline : Lucio Fontana qui l'initia à ce qui deviendra sa grande passion.
Giorgio garde de cette période de sa vie un magnifique souvenir, marcher sur les traces des grands maîtres, s'en nourrir et leur rendre hommage, rien de plus beau pour l'artiste.
Giorgio reste l'artiste pluridisciplinaire de ses débuts, il enchaine le cinéma, le théâtre, la peinture, la céramique. Depuis 1974 il a écrit et réalisé 11 films et plus 19 pièces de théâtre dont le "Mariage Bet" lauréat du Prix de la critique au "Cinéma à domicile" du festival de Rome.
En 1990, il va plus loin dans sa recherche en créant sa première pièce de théâtre sur le thème "Céramique-lumière-mouvement", dans laquelle "des acteurs et de la céramique interagissent sur la scène sur une chorégraphie lumineuse".
En 1993, il adhère au groupe français Art mobil avec lequel il projette une série d'événements en Italie et en France, comme la signature avec Patrick Moya et Véronique Champollion du Manifeste du Mouvement Artistique Méditerranée, toujours en évolution.
En 1996, il fonde le département de la santé mentale de Gênes, "II Giardino del Mago" avec lequel il produit une série d'œuvres liées au théâtre et au cinéma expérimental.
Au total c'est plus de 200 manifestations organisées entre cinéma, théâtre, spectacles et expositions.
En 2017 l'Italie lui rend hommage avec une exposition d'une envergure exceptionnelle.
Les mots de la galerie
J'ai découvert "Le rouge à lèvres" de Giorgio Laveri sur un salon à Paris en 2012, Ce travail remarquable, cachait un artiste d'une grande sensibilité au parcours atypique. J'ai rencontré Giogio quelques heures plus tard sur stand et suis repartie avec ses œuvres. Cette confiance donnée spontanément m'a beaucoup touchée. Quelques années nous ont permis de mieux nous connaitre et de trouver toujours autant de plaisir à travailler ensemble. Giorgio propose des œuvres contemporaines, des objets de la vie qui reprennent sens et vie entre ses mains.
Exposition 2022
Mirogi a exercé comme kinésithérapeute et ostéopathe ce qui lui a permis de parfaire ses connaissances de l'anatomie. Un concours de circonstances incroyable allait modifier son parcours lorsqu'elle découvre en 1999 l'atelier d'Annick Aublet. Mirogi travaille alors jours et nuits pour retranscrire des années d'expérience comme kiné. Le corps, elle le maîtrise, reste à lâcher prise et à se laisser aller à sa perception de la féminité.
L'artiste travaille à partir de modèles vivants dans l'atelier et a pour habitude de finir les pièces chez elle, en particulier les mains et les visages qui demandent beaucoup de minutie.
Mirogi réalise des oeuvres abouties où les patines retranscrivent parfaitement les jeux de lumière sur les corps. Mirogi est une artiste au style affirmé ,exposée dans les plus grandes galeries. Nombre de ses bronzes ont intégré de belles collections en France et à l'étranger.
Les mots de la galerie
Les sculptures de Mirogi m'ont été présentées par un agent d'artiste. Outre l'aspect esthétique de son travail, j'ai apprécié les postures et la connaissance du corps. Les oeuvres de Mirogi sont atemporelles, on ressent pleinement toute la féminité de ses sujets et leur fragilité. Par la suite j'ai eu le plaisir de rencontrer l'artiste et de partager avec elle sur son travail, une belle rencontre qui ne fait que confirmer le ressenti que l'on a devant ses oeuvres.
Après des années de travail sur « la vie » et « la vieillesse » Pierre Mouzat nous présente des sculptures bienveillantes, où âge et amour se retrouvent dans ces corps flétris, attendrissants. La rencontre des œuvres de Pierre est un cheminement sur ce que nous sommes, nos valeurs, le sens et l’amour de la vie. L’artiste m’a dit « s’il y a la vieillesse c’est qu’il y a eu une vie, une jeunesse » avec un sourire empreint de sagesse et de douceur.
Né en 1958, c’est dans les années 70 que Pierre MOUZAT a découvert la sculpture dans l’atelier de Jean Loup DELAROCHE à Loudun et a suivi des cours à l’Académie de dessin de Jacques Gabriel CHEVALIER. Par la suite Pierre Mouzat sera reçu à l’Ecole Boule de Paris dont il sortira major. En 1999 il est le lauréat d’un concours national pour la réalisation du buste du président français François MITTERRAND. Buste érigé dans les jardins de Château Chinon.
Les mots de la galerie
J’ai découvert les œuvres de Pierre Mouzat dans une exposition de campagne, réservée aux sculpteurs, qui n’avait rien à envier aux choix artistiques des galeries. Le salon, d’un très bon niveau artistique, venait de me surprendre, je ne connaissais pas cet événement et découvrais des œuvres remarquables quand mon regard s’est arrêté sur les œuvres de Pierre. Pierre propose un univers qui peut paraitre difficile de prime abord mais dans lequel on perçoit toute la bienveillance de l’artiste. Quelques semaines plus tard Pierre Mouzat me rendait visite à la galerie, accompagné d’Hellen Halftemeyer, jeune artiste peintre de talent dont j’avais repéré le travail. Cette rencontre à trois, sympathique, directe et amicale a très vite donné naissance à notre collaboration. Pierre déborde de valeurs humaines que j’apprécie au-delà de l’intérêt que je porte à son travail. Nous travaillons ensemble depuis novembre 2017.
Les mots de la galerie